Coins de la planète, complètement à la merci d’une seule espèce animale: parte 3

Îles aux ours polaires: la baie d’Hudson, conserve le titre de capitale de l’ours polaire. Selon certains rapports, la région abrite jusqu’à 2/3 de tous ces animaux dans le monde, la probabilité de les rencontrer est donc extrêmement élevée. Les touristes sont installés dans des véhicules spéciaux pour la toundra, avec des flancs élevés, afin de réduire le risque de devenir un repas pour le prédateur. Mais le réchauffement climatique pourrait y mettre un terme: les ours sont contraints de migrer en suivant le recul de la glace.

Lac de méduses: située sur l’île d’Ail Malik, elle abriterait au moins un million de méduses dorées et lunaires. Le lieu est unique à tous égards: lorsque les mouvements tectoniques ont rendu le lac inaccessible à la mer il y a 12 000 ans, les méduses n’ont pas été piégées mais préservées dans leur paradis privé.

Il n’y a pas de prédateurs et la nourriture est abondante, si bien qu’au cours de l’évolution, les raies venimeuses se sont atrophiées et les plongeurs sont désormais libres de nager dans les agrégats de méduses sans craindre d’être piqués.

L’île aux poneys: une bande de terre de 37 km le long de la côte de Virginie, appelée Assateague Island, On pense que leurs ancêtres ont échoué ici à la suite d’un naufrage et que les poneys ont été libérés de l’oppression humaine depuis lors. Les poneys sont généralement habitués aux touristes, mais pour éviter les conflits, il est conseillé de ne pas débarquer sur l’île mais de la longer en canoë.

Aime ce poste? S'il vous plait partagez avec vos amis:
Pause AR
error: Le texte est protégé !!