Un mariage avec un magnétophone et les autres les bizarreries du roi du pop art Andy Warhol

Les artistes célèbres ne sont pas seulement pardonnés pour leurs bizarreries, toute différence avec une personne normale est glorifiée, parfois exagérée, par les biographes et les journalistes. Warhol a attiré l’attention de tous, brisé des cœurs, vendu ses sérigraphies pour des sommes folles et est devenu une véritable icône du style.

Pourtant, derrière l’image du génie inaccessible se cachait un homme vulnérable, solitaire et exagérément bizarre, c’est peut-être pour cela qu’il est aimé. Julia Warhol était une femme intelligente et douée. Elle a chanté des chansons traditionnelles ruthènes à Andrew, brodé, bien dessiné et fait de superbes bouquets à partir de déchets. C’est elle qui a grandement influencé le développement créatif de l’artiste.

En parlant de routine. N’étant pas un bel homme canonique, Andy a transformé son apparence disgracieuse en une icône. Au début de sa calvitie, il a acheté une perruque blanche artificielle qu’il portait délibérément de manière décontractée, car il avait peur qu’elle se détache et révèle son secret. Mais son principal problème était l’acné. Il a visité des salons de beauté, le maquillage dans sa salle de bains serait suffisant pour dix et pour la vie, mais tout cela en vain.

Ainsi, le plus souvent, il utilisait un maquillage léger et épais ou un fond de teint, transformant son visage en un masque lisse. Il a délibérément renforcé cette impression dans une série d’autoportraits au féminin, où, à l’instar de Marcel Duchamp et de Claude Caon, il explore la frontière entre féminité et masculinité.

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