Qu’est-ce qui se cache derrière la légendaire photo de Philip Halsman Atomic Dali, prise en 28 fois

Les photographes d’aujourd’hui ayant entre les mains un outil aussi puissant que photoshop, personne ne s’étonne des photos surréalistes qui pullulent. Mais comment, au milieu du vingtième siècle, les photographes parvenaient encore à créer des clichés surréalistes de génie, en utilisant uniquement des objets naturels, un modèle vivant et un appareil photo avec une pellicule: c’était vraiment un mystère.

Dans notre publication, vous apprendrez non seulement les secrets des photographes de génie du siècle dernier, mais aussi l’histoire légendaire de la célèbre photo surréaliste Atomic Dali. C’est en utilisant de telles expositions, le photomontage et des formes créées artificiellement que l’on pouvait créer une image avec des rêveries idylliques ou des images artistiques irréelles qui affectaient comme par magie l’esprit du spectateur.

C’est Philippe Halsman qui, le premier, a prouvé que l’on pouvait obtenir des effets surréalistes originaux même sans montage, sans expositions multiples, en utilisant uniquement des moyens photographiques et le professionnalisme. L’histoire de cette photo unique est tout à fait remarquable, pour ne pas dire légendaire. Dans l’image, nous voyons des objets volants des Salvador Dali qui sautent et des chats qui s’envolent dans les airs.

Et, il faut rappeler qu’aucun traitement assisté par ordinateur n’existait en 1948, bien sûr, pas du tout. Il a donc fallu environ six heures de travail acharné de la part du personnage principal, de ses assistants et de Halsman pour obtenir le résultat souhaité. D’ailleurs, les chats ont eu leur part ils ont été jetés dans le cadre dans les 28 prises.

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