Un programme d’élevage de 12 ans pour une espèce rare de lapin du zoo a pris fin avec la libération des 14 derniers rats dans la nature. Le lapin a été classé parmi les espèces menacées en 2001. En conséquence, 16 lapins pygmées ont été maintenus en captivité. Le département de la conservation de la faune a établi un programme de reproduction de cet animal rare afin d’augmenter le nombre de lapins pygmées introduits dans le bassin du fleuve.
Cependant, la mise en place d’un programme d’élevage a été plus difficile que prévu, car l’élevage des lapins du genre est très différent de celui du lapin commun. Il s’est avéré qu’il y avait peu de variation génétique entre les lapins restants, résultat de croisements face à une population en déclin. Ce manque de diversité génétique a réduit les performances de reproduction et augmenté la susceptibilité aux parasites.
Ces deux populations appartiennent à la même espèce, mais sont génétiquement distinctes. Des preuves fossiles et génétiques suggèrent que les deux zones ont été séparées pendant plus de 10000 ans. La population du sud était également considérée comme menacée, mais elle s’est rétablie ces dernières années.
La couleur générale du haut du corps et des oreilles est grise avec une teinte brunâtre. Le dessous de la carcasse est blanc. Ce lièvre creuse des terriers semblables à ceux du lièvre d’Europe et donne naissance à des petits aveugles nus, avec une moyenne de six petits par portée.
