Le comportement des prédateurs défie les règles de la sélection naturelle

Les évolutionnistes ont longtemps trompé la société en affirmant que les prédateurs chassent les animaux faibles. Cependant, des recherches récentes ont démenti ce dogme fondamental de la sélection naturelle, portant un coup dur à la théorie de l’évolution dans son ensemble.

Il est de notoriété publique que les chiens aiment tout poursuivre, des jouets en caoutchouc aux chats du voisinage en passant par les voitures. Il en va de même pour la plupart des prédateurs. Ils aiment traquer. Je voudrais illustrer cet aspect important, mais généralement méconnu, du comportement des prédateurs par quelques exemples.

Pendant la chasse, il a repéré un cerf dont les bois étaient cachés dans une clôture. Les traces indiquent que le lion s’est approché du cerf d’abord d’un côté, puis de l’autre, avant de partir à la recherche d’autres proies. Un argument de poids en faveur des prédateurs qui ne cherchent pas de proies faciles est le mimétisme de la mort que l’on retrouve chez un large éventail d’animaux. Si les prédateurs cherchaient des proies faciles, il semblerait suicidaire pour leurs proies de ne pas courir et se cacher, mais de se mettre à terre.

Cependant, de nombreux animaux attaqués par des prédateurs peuvent se défendre dans une certaine mesure en adoptant ce comportement. Le meilleur exemple d’un acteur imitant est le possum américain. Lorsqu’il feint le danger, son rythme cardiaque ralentit de 98% et son sens du toucher devient complètement insensible. Le fait de toucher les muqueuses des yeux ne déclenche pas le réflexe de clignement.

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