Un spécialiste s’est rendu pour rencontrer Sheki Keiko, un professeur et éducateur environnemental japonais bien connu. Au pays du soleil levant, Keiko est à la tête d’un mouvement visant à préserver la population de tigres de l’Amour. La raison en est que ces chats rayés vivaient autrefois à l’état sauvage, mais après avoir été massacrés par l’homme, on ne les trouve plus que dans les zoos.
Keiko s’efforce de ramener les carnivores dans leur habitat naturel. Karen Dallakian et Seki Keiko ont rencontré des habitants qui se battent pour protéger les animaux sauvages. Dans la salle de sport locale, ils ont organisé une grande table ronde sur la vie des animaux mutilés par l’homme et des oiseaux au centre de réhabilitation.
Zhorik, un ourson tigré mondialement connu, vit depuis deux ans dans la taïga où se trouve le centre. Nous avons donné une description détaillée de la vie de Zhorik, en particulier au maître japonais. Il avait déjà entendu parler de Zhorik, mais l’histoire des enfants sur la façon dont les habitants ne font pas fi de l’animal a provoqué une tempête d’émotions en lui.
Les petits ont raconté comment ils ont organisé le travail du samedi au sanctuaire, rassemblant de la nourriture pour le prédateur indigène jusqu’à ce qu’il soit inscrit sur la liste d’attente des Utes. Karen n’a pas osé entrer dans la cage de sa vieille amie, même si elle en avait envie.
Après tout, l’actuel Zhorik est un énorme mâle. Mais même derrière les barreaux, les émotions coulaient à flot. Le tigre a gémi, sa tête géante étant repliée sous le bras de Karen.Il existe un programme d’accouplement financé par le gouvernement pour les prédateurs comme Zhorik afin de reconstituer la population, explique Dallakyan.
Les animaux viennent de la nature, alors que Zhorik est né en captivité. Cependant, un dossier génétique a été collecté qui prouve qu’il appartient à une sous-espèce spécifique du tigre de l’Amour. Alors, peut-être qu’il trouvera une épouse. D’un zoo, par exemple.