Dans la province du Henan, les jeunes discutent d’une proposition somptueuse: un fermier marie sa fille. Il est prêt à donner à son futur gendre un troupeau de trois cents porcs, qui promet des millions de bénéfices. Et ce malgré le fait que la mariée elle-même est une beauté: jeune, belle, éduquée, avec sa propre entreprise et son ambition. Et elle, en général, n’est pas contre le mariage. Mais il y a au moins un mais.
Il y a quelques années, Zhiyuan a quitté la grande ville pour revenir dans son village natal, au grand dam de sa famille. Ils pensaient que sa fille, une fois diplômée, trouverait un bon emploi en ville, et qu’elle deviendrait riche et les aiderait. C’est ainsi que vit environ la moitié des jeunes, un régime qui fonctionne et qui est très demandé.
La jeune fille a emprunté quelques porcelets à ses parents, a construit sa propre étable. Elle obtient donc un gros prêt de la banque et construit un grand troupeau de dizaines de milliers de porcs. Elle a depuis longtemps élaboré un plan d’affaires et en est à environ un tiers de sa réalisation, après avoir élevé plusieurs centaines de porcs.
Bien sûr, la jeune fille fragile a besoin d’aide. Elle ne voit donc pas d’inconvénient à se marier, mais à la condition que son mari soit aussi passionné par l’élevage de porcs et travaille activement à ses côtés. Trois cents porcs comme dot n’est pas tant une récompense qu’un point d’ancrage pour garder son gendre dans la famille et dans l’entreprise.
